- C'est l'histoire du déclin du
socialisme à partir d'un portrait de François Hollande, que l'auteur-interpréte
à voulu décrire, et dont il a inventé une partie l'histoire.
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- C'est un bon
comédien, à la diction parfaite, qui imite notre précédent président à
qui il ressemble, juste à l'aide de lunettes et d'un costume à
l'ancienne. Les mimiques et le coté marionnette, c'est sur une vidéo en
arc de cercle, où les hommes et femmes de son gouvernement apparaissent,
avec leurs têtes comme découpées, mobiles sur un corps supposé être le
sien, un peu plus petit. Ils ont des grosses têtes qui se
balancent au gré du discours, tandis que des mains, ils
tapotent leurs cuisses ou leurs mains pour mieux manifester,
exaspération, courroux, air dubitatif.
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- Sur vidéo, le metteur en scène d'abord explique son souhait de
nous parler de Hollande, son goût pour cette homme qui lui parait être un
peu plus intègre, juste avant la fin du socialisme et le
début d'une nouvelle ère de président, de façon de gouverner. Le
dernier à avoir une part de sincérité, de sens de sa mission, d'un
sens de responsabilité par rapport à ses concitoyens (on ne saura pas
ici encore, qu'il à laissé faire le premier des attentats -celui des
journalistes- qui aurait pu être évité, fomenté par la force de renseignement de son prédécesseur avec aval du
ministre adéquat).
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- Puis le metteur en scène, s'interroge sur la politique en
général, fait part de ses doutes. On a du mal a reconnaître le même
homme jouant le Président Hollande, qui plus tard tient les têtes de
deux de ses femmes, par les cheveux de leurs marionnettes. L'auteur
s'est attaché à présenter l'homme comme volage, ce qui l'a amusé nous
dit-il. C'est trois têtes à cheveux longs de femmes alignées qu'on
voit ensuite sur un canapés, oubliées, après que de ses deux mains il
ait chorégraphié le souvenir d'une joute verbale d'insultes entre
Ségolène et Valérie se détestant et se jalousant cordialement,
officiellement, ce jour.
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- Selon lui même, un président se doit de mentir à ses concitoyens qui
attendent cela de lui.
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- Régulièrement, l'homme habile, conscient de sa tache,
encore préoccupé de culture, et gourmand, demande s'il peut avoir un petit
gâteau. Un jeune homme à lunettes
lui apporte une boite de calisson d'Aix